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Nos aventures à Mayotte

24 janvier 2014

Encore une mise à jour...!

Nous vous avons présenté La Réunion au post précédent mais nous n'avons pas encore refait l'historique depuis juin 2013!

Un retour en métropole l'été dernier (👍👍👍) partagé entre la Bretagne et le sud-ouest, des vacances, donc, à la Réunion avec Bruno et Laure, la venue des parents d'Hélène pour les fêtes de fin d'année 2013...

Sans oublier le "train train" de notre vie locale, plages, bateau, beaucoup de pluie ces dernières semaines et bien sûr le travail!

Un tas d'apéros avec les voisins, des rencontres avec les baleines (un magnifique weekend pour Hélène), quelques bobos pour notre foufou Eloan... Bref, j'oublie sûrement des choses mais le principal est là.

Bien sûr, des moments de blues car vous nous manquez et que la vie quotidienne n'est pas toujours faite de ciel bleu.

Les enfants grandissent de jours en jours et sont en pleine forme! Eloan a trouver sa vocation... devenir magicien!

Les photos...

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29 octobre 2013

S'il y avait un voyage...

S'il y avait un voyage à ne pas rater, c'était bien celui de La Réunion!!!

12 jours de vacances magiques partagés entre hauts et bas, entre ciel et mer, entre piton et lagon...
La tête dans les nuages, et parfois bien au-dessus, nous avons crapahuté avec nos sacs au dos. Des kilomètres et des kilomètres de marche à la découverte de paysages tous plus sublimes les uns que les autres. Un passage par Cilaos pendant le grand raid, 2 jours au paradis de Mafate et sinon un camp de base à Saint Leu. Ca fait du bien un peu de confort...

Si on ajoute des colocataires au top (merci la famille Martin), un soupçon d'apéros, une pincée de bonne bouffe, le résultat est tout simplement inoubliable.

Voici nos vacances en images....

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29 octobre 2013

Que le temps passe...

Voici de longs mois, de trop longs mois que ce blog n'a pas été retouché...

Remontons un peu le temps pour remercier nos visiteurs des vacances de Pâques.

La team Fargier tout d'abord, quel plaisir de se retrouver après tant d'années, c'est drôle parfois comme le monde est petit!!!

Julie, quand je vois les fruits de la passion jaunir doucement sous les rayons du soleil qui se veut de plus en plus écrasant, je pense à toi!!

Merci ensuite à la team du collège-lycée Weiller, nous avons partagé avec vous de supers moments, heureux de vous faire découvrir notre quotidien, nos plages, nos tortues, et que vous ayez été tout simplement les témoins de notre dépaysement!!!

En pêle-mêle les photos de nos diverses excursions, plage de Sakouli, N'gouja, le lac Dziani, le mont Choungui...

 

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31 mars 2013

Vacances "d'hivers"

Bonjour tout le monde,

Le temps passe vite et voilà déjà un bon bout de temps qu'il n'y a plus eu de mise à jour....

On remédie à la chose grâce à la venue de Magalie, Jean-Noël et leurs enfants aux dernières vacances d'hivers. Merci à eux d'être venus nous voir.

Nous espérons que cette découverte de l'île leur laissera de bons souvenirs.

Pour nous, ce fut l'occasion de nous "rebouger" afin de leur faire découvrir ce petit bout de caillou. Si l'on doit dresser le bilan de cette quinzaine, nous n'avons pas été déçus.

Déjà, le temps a été de la partie avec beaucoup de soleil et peu, ou pas, de pluie. Un paradoxe pour la saison.

Nous avons essayé de leur montrer les différentes plages où nous passons nos journées, nous avons pu effectuer deux superbes sorties en bâteau avec à la clé des dauphins, des raies manta.., une montée au Choungi, quelques bons apéros et une dose de bonnes bouffes.

Nous avons eu l'ocassion aussi de découvrir la superbe plage de M'Tsangafanou, magnifique!

Bref, dur dur....!

Allez, les images....

 

Tout a commencé par une superbe après-midi avec Laure et Bruno (nos charmants voisins) à Tanaraki. Quel coucher de soleil!

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Pour la suite de l'article, vous allez trouver, pèle-mêle et dans le désordre, une sélection de nos meilleures photos...(désolé pour la mise en page, y a un souci)

 

 

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Vous pouvez y retrouver notre sorties "dauphins, raies manta", la plage de M'Tsangafanou, la montée au Choungi, M'Tsamboro et Choizil...

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Voilà pour les dernières vacances que nous avons passé sur Mayotte!

Maintenant, ils nous tardent que Johann et Greg, et leurs chéries, viennent nous rendre visite. Préparez vous les amis!

On vous embrasse toutes et tous, à bientôt.

 

 

21 janvier 2013

Les vacances à Nosy Be...suite...

Enchaînons avec le Parc de Lokobe.

On se rassure, point de houle trop forte ou de capitaine trop rôti pour mener sa barque! Tout fut parfait..... à une exception près...la pluie.

Et là, quand je vous dis pluie, je devrais être plus précis et parler d'hectolitre de pluie par m2. Vêtements, sacs, enfants, poissons.... tous trempés!!!!

Pourtant, le début était excellent avec un beau et franc soleil et de la rame en pirogue traditionnelle le long de la mangrove (dur pour Jérôme quand même!).

Les photos ont été prises avant les bassines de flotte.

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Après le changement de tenue, place à la découverte des animaux du parc. Notre guide Baba était génial. Merci à lui pour nous avoir montré tout cela.

Ah oui, j'ai failli oublier, il a encore beaucoup plu pendant cette balade!

Mon premier caméléon, aussi gros en tout cas!

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Bon pour les photos, on s'arrête là car trop humide... Hélène portant Jules, moi portant Titouan, c'était plutôt difficile.

Croyez nous sur parole, nous avons pu voir des boas (brrrr), pleins de makis et autres caméléons. Un cours de tarzan avec les enfants grâce aux nombreuses et grosses lianes, de la vanille partout partout partout..., de la boue et des petits ruisseaux à traverser. La balade a été copieuse, mais bien dans l'ensemble.

La prochaine fois, on regarde la météo!

Voilà pour nos principales visites sur Nosy Be avec nos copains. Ils sont partis une semaine avant nous et, du coup, le reste du séjour a eu pour thème: la glandouille!

Avec la plage en bas de la chambre, vous me direz, c'était pas bien difficile! Et bien, on a réussi...

Sérieusement, voilà un grand moment que tout le monde n'avait pas été aussi détendu. Les enfants se sont fait des copains malgaches tous les jours, ils ont pu se défouler autant qu'il le souhaitait.

Et nous, les parents, nous avons pu bouquiner comme jamais! Ça, c'est un signe(en tout cas pour moi).

J'oubliais presque que Titouan et Jules nous avaient fait la varicelle ...

Au menu des journées, petit déjeuner à l'appart, plage et baignade, déjeuner chez Tantine, replage et baignade, sieste pour certains, douche et dîner au restau!!!!

!DUR!

Plaignez nous, car nous avions droit à un orage tous les soirs! Fallait bien calculer son coup pour rentrer sec à la maison!

Nous avons fait la connaissance de Nicole, une malgache très serviable (intéressée aussi, c'est le jeu) qui nous a fait découvrir la finesse de ses massages et son talent pour le commerce de la broderie!

Si on lui avait proposé, je pense qu'elle nous aurait suivi dans les bagages jusqu'à Mayotte!

En vrac,

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Pour terminer en beauté, nous sommes allés à Andilana et au mont Passo, le point culminant de l'île. Malheureusement, Hélène n'est pas venue car elle gardait Jules avec sa varicelle.

Journée parfaite si l'on excepte les piqûres des mouches. Ça gratte fort!!!!

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La montée au Mont Passo était assez incroyable! Arrêts pour observer les lacs aux alentours (y a des crocodiles!) et attente du coucher de soleil. MAGNIFIQUE!

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Voilà, ce récit touche à sa fin.

Pour résumer, nous avons passé de merveilleux moments dans ce très beau pays. Certes, nous n'avons pas tout vu et nos visites se sont révélées essentiellement touristiques. Cependant, nous avons été frappés par la gentillesse des gens, leur simplicité et leur dévouement.

Ce fut un vrai bol d'oxygène pour nous tous.

Nous vous disons à très bientôt pour de nouvelles aventures. Aux prochaines vacances, nous aurons la joie d'accueillir Magalie, Jean-Noël et leurs deux enfants pour une découverte de Mayotte. Cool!!!

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20 janvier 2013

Les vacances à Nosy Be

Pour les vacances de Noël, nous avons opté pour un séjour à Madagascar et plus précisément sur l'île de Nosy Be.

Nous nous sommes envolés juste après Noël pour 15 jours de découverte et de repos bien mérité. Sur place, nous avons retrouvé Jérôme, Stéphanie et les enfants pour des moments inoubliables...

Notre logement se trouvait tout près de la ville d'Ambatoloaka, à 15 min. à pieds par la plage.

Il s'agissait d'un petit appartement les pieds dans l'eau, comprenant une terrasse ouvrant sur une plage de sable blanc et permettant de profiter de couchers de soleil incroyables... dur, dur!

Si l'on excepte les multiples coupures de courant et un accès wifi plus qu'aléatoire pour joindre la famille, c'était parfait! Ne soyons pas trop difficile quand même...

Voyez plutôt...

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Ce qui est fantastique à Madagascar, c'est que l'on mange pour vraiment pas cher et c'est excellent. Du coup, c'était restau midi et soir.

Ci-dessous, la gargotte "chez Tantine" qui nous a servi de cantine quasiment tous les midis! Comme vous pouvez vous en apercevoir, c'était ...bien...

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Voilà, le cadre de vie étant présenté, passons maintenant aux excursions et autres découvertes de notre séjour.

Ici, les sorties sont proposées par des locaux qui vous vantent tous les mérites de leur organisation. Les prix sont vraiment abordables et une excursion se paie entre 40000 et 60000 ariary, soit entre 15 et 20 euros.

Sont compris les déplacements (bateau ou taxi) et la nourriture du midi. Après expérience, il ne faut pas négliger l'aspect sécuritaire et ne pas hésiter à payer un peu plus cher afin de s'assurer du sérieux de ce qu'il vous est proposé.

Nous aurons le temps de revenir sur quelques anecdotes...


Nosy Sakatia a été notre première sortie en bateau. En compagnie de stéph, Jérôme, de sa maman et des enfants, nous avons découvert cette île réputée pour la broderie et les orchidées.

Départ en barque pour environ une 1/2 heure de trajet et découvrir enfin la beauté des paysages.

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Voici la case qui nous a servi de lieu pour dévorer le festin qui nous a été préparé! Au menu, du zébu, du poisson grillé, des légumes et du riz coco pour accompagner tout ça. Un vrai régal!

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L'après midi s'est finie par une bonne baignade et une première expérience assez "moyenne" quant au sérieux d'un des guides. Sur les deux accompagnateurs, un était complètement....rond....Grrrrrrr

Si l'on ajoute à cela une mer qui se forme à cause du vent et un capitaine avec autant d'heures de navigation que moi, le retour fut assez long et difficile. Ceci dit, nous sommes quand même bien rentrés....

Apéro le soir pour fêter ça!!!!


La suite du séjour nous a conduit à Helleville, la "capitale" de Nosy Be. Nous avons découvert une partie du port, le marché municipal et les nombreux commerces de broderies et de sculptures... Hélène a bien apprécié!

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Les jours se sont enchaînés au rythme de la plage, de la lecture, des massages et des bonnes bouffes....


Nous voici à la sortie à l'île de Nosy Komba.

Dans le même esprit que Sakatia, bateau, repas sur place, visite du village et de l'artisanat.

Cette fois-ci, un retour assez magique à bord d'une pirogue traditionnelle à moteur dans des creux...d'1m50.... Du pur bonheur pendant 1h15.

Je pense que la prochaine fois, ce sera avec un gros bateau et un gros moteur!

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Remis de nos émotions, nous avons enchaîné avec le premier de l'an avec nos amis... Au menu, restau indien, des apéros et les enfants crevés..

Au final, nous avons réussi à tenir éveillés jusqu'à 00h00 et 42s! Grosse performance lorsqu'on sait que cela faisait deux ans que nous avions sombré avant.... Magique Madagascar!

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On était un peu fatigués quand même.... Pour notre défense, le rythme de ce début de séjour était soutenu...

5 janvier 2013

Joyeuse année à Nosy Be!!!

Nous vous souhaitons à tous une heureuse et très bonne année. Bonheur, santé et voyage pour venir nous voir!!!! En attendant, nous, nous avons choisi de fêter la nouvelle année à Nosy Be afin de souffler un peu... Elles ont été dures les dernières semaines de boulot. Voici quelques photos, d'autres viendront avec des descriptions plus précises de nos excursions et de nos journées. Ce qui est sur, c'est que nous ne sommes pas déçus. Les gens sont aimables, les paysages magnifiques et la bouffe extra et pas chère. Ça change de Mayotte ça! On vous embrasse tous très très fort, à bientôt!

27 décembre 2012

Pour information

Pas de photos pour cette fois-ci ou autre récit paradisiaque mais plutôt un article à caractère informatif. Parce que Mayotte c'est aussi cette vérité moins plaisante. Pour celles et ceux qui veulent bien prendre un peu de temps pour lire ces extraits parus dans le monde. Ils expliquent vraiment très bien la réalité de tous les jours. Derrière la carte postale.....😔😔😔 Catastrophe migratoire à Mayotte L'île est débordée par l'afflux de migrants des Comores. Fonctionnaires et associatifs ne cachent plus leur désarroi Si les tropiques ont bien voulu doter Mayotte des faveurs d'un lagon aux eaux turquoise et du privilège des tortues marines, un sérieux mal ronge ce gros caillou français perdu au milieu de l'océan Indien. Sa cause s'écrit depuis longtemps au dos de la carte postale : l'immigration en provenance des Comores, quatre îles distantes de 70 kilomètres. Les flux en provenance du 139e pays le plus pauvre au monde sur 182 ont atteint des proportions telles que si des médecins examinaient Mayotte, ils concluraient sans doute à son état d'épuisement. Pour rejoindre l'île, devenue le 101e département français en 2011, des dizaines de Comoriens risquent leur vie tous les jours depuis des années à bord d'embarcations de fortune, appelées les kwassas. La pression est telle que le rapport démographique a atteint des records : 40 % des 212 000 habitants de Mayotte sont désormais d'origine comorienne ( 25 % depuis 2007). La plupart sont en situation irrégulière. Même l'éducation nationale ne suit plus : 25 % à 40 % des élèves sont issus de familles sans papiers. Un constat si grave, outre le millier de morts causés en dix ans par les naufrages, qu'en juillet, deux mois après l'arrivée de François Hollande à l'Elysée, la Place Beauvau, le Quai d'Orsay et le ministère de l'Outre-Mer ont envoyé un haut fonctionnaire, Alain Christnacht, pour dresser un état des lieux. En octobre, il a rendu sans publicité un rapport accablant. Le Défenseur des droits, Dominique Baudis, s'est déplacé dans la foulée, du 22 au 24 novembre, et Le Monde a pu l'accompagner. A peine débarqués, l'abattement se lit partout à Mayotte. Moins sur les collines verdoyantes, où le climat a favorisé la pousse de manguiers et de fleurs d'ylang-ylang, que sur les visages des associatifs et fonctionnaires qui tentent de maintenir à flot le territoire. Dans leurs bureaux fatigués, au bout de routes cabossées, dans une économie ruinée par la vie chère et l'insularité, ils confient leur désarroi. Une fatigue qui semble affecter jusqu'aux services de gendarmerie, premiers acteurs de la lutte contre l'immigration irrégulière. Avec les policiers, ils sont plus de 600 sur l'île. Leur effectif a triplé en dix ans. Mais ils sont de plus en plus nombreux à laisser poindre leurs interrogations sur le sens de leur travail. Une tâche qui consiste à continuellement tenter de faire la différence, en mer, entre bouts de bois, houle et bateaux de migrants indifféremment captés par leur radar. Ces fonctionnaires sont les premiers effarés par le coût de cette inlassable surveillance. Leurs bateaux utilisent plus de 100 litres d'essence par heure. Leurs moteurs à 30 000 euros pièce s'usent les uns après les autres à force de remorquer les kwassas interceptés. Pour un résultat de surcroît relativement médiocre : une embarcation sur trois empêchée d'atteindre Mayotte. Au tribunal de grande instance, un bâtiment défraîchi logé au-dessus d'une boulangerie, juges et magistrats ne sont pas plus vaillants face au Défenseur des droits. Le procureur lui-même, Philippe Faisandier, reconnaît " l'abattage " dans lequel est embarquée l'administration avec les expulsions : environ 20 000 par an, soit autant que toutes celles de métropole. Si toutes les infrastructures sont en difficulté à Mayotte, cette situation n'est pas qu'un enjeu local. Elle concerne directement Paris. Un indicateur parmi d'autres permet d'en prendre la mesure : la quasi-totalité des jeunes arrivant en métropole après un début de cursus sur l'île - dont des Comoriens devenus français - sont en échec scolaire ou professionnel. Faute de patients solvables, le système de santé est aussi proche de l'effondrement. Les soins sont gratuits pour les plus démunis qui ont une pathologie très grave ou dont le pronostic vital est engagé. Ce qui attire des embarcations entières de Comoriens malades, dont beaucoup de handicapés. Dans le même temps, le suivi des pathologies bénignes est compliqué car l'accès à la Sécurité sociale est conditionné à la régularité du séjour. Or, une fois à terre, les Comoriens vont gonfler les rangs de baraques en tôles - les " bangas " - qui mitent les collines en terre rouge de l'île. A la saison des pluies, on y patauge dans la boue. L'été, la chaleur y est écrasante. Comme dans celle de Mwalimu, un Comorien de 11 ans. Après toute une bataille juridique, Médecins du monde a obtenu que l'enfant, atteint de difficultés psychomotrices, ait un fauteuil roulant. Soit " dix ans après son arrivée ", calcule sa mère. Dans ces quartiers, la police aux frontières (PAF) effectue régulièrement des descentes pour des contrôles d'identité. Un " sale boulot ", résume un haut fonctionnaire. Qui se fait en outre dans un contexte juridique " précaire ", selon la formule pudique du procureur de Mayotte. La PAF passe en effet son temps à tenter de distinguer les sans-papiers des Mahorais, tous noirs de peau, sans officiellement faire de contrôle " au faciès ". La lutte contre l'immigration aboutit parfois à des situations ubuesques. Comme sur l'îlot M'tsamboro au large de Mayotte : les passeurs abandonnent régulièrement leurs passagers sur ce bout de terre inhabité. En attendant de trouver un moyen de rejoindre la côte, les migrants peuvent y passer des jours sans rien d'autre que de l'eau de pluie et les fruits des arbres. Or, la géographie veut que l'îlot soit situé à juste quelques mètres d'un splendide banc de sable blanc qui apparaît à marée basse : l'une des attractions touristiques de Mayotte. " Faute d'argent, un migrant y a passé une fois trois mois ", a raconté au Monde un pêcheur mahorais qui confiait facturer jusqu'à 200 euros le passage. De fait, les relations historiques entre Mahorais et Comoriens compliquent les solutions au sort de Mayotte. Les Comoriens servent notamment de main-d'oeuvre bon marché aux Mahorais : dans le secteur de la pêche, 25 % des employés sont sans papiers. Quand un naufrage a lieu, la morgue reste rarement avec les cadavres sur les bras. Les victimes ont la plupart du temps de la famille déjà présente à Mayotte qui avait été prévenue de leur arrivée... Depuis peu, des demandeurs d'asile venus de l'Afrique des Grands Lacs débarquent aussi à Mayotte. Mais l'Etat ne finance que 15 places d'accueil dans une petite association, Solidarité Mayotte. Le temps moyen d'examen des dossiers est de cinq ans. Et quand une délégation de l'instance de recours des réfugiés, la Cour nationale du droit d'asile (CNDA) est passée, en novembre, après trois ans d'absence, elle a examiné 700 dossiers en trois semaines. Pour se loger, ces Africains s'agglutinent à leur tour avec les Comoriens dans les bidonvilles. Faute de ressources, les femmes - à l'instar des sans-papiers - n'ont d'autre choix que de se prostituer pour payer les loyers, 60 à 80 euros par mois. Une prostitution sauvage, sous la coupe des propriétaires et des voisins. Les fonctionnaires métropolitains, eux, se pressent de moins en moins à Mayotte. La prime d'éloignement n'y fait plus rien. A la rentrée, il manquait 400 enseignants. " On m'avait dit que c'était la France ", résume un jeune Congolais de 18 ans, dépité, alors qu'il venait d'obtenir son statut de réfugié. Il s'appelle Baguma et son seul objectif est de rejoindre au plus vite " la France ". La vraie. Elise Vincent ⏩⏩⏩⏩⏩⏩⏩⏩⏩⏩⏩⏩⏩⏩⏩⏩⏩ La suite est du même acabit... Objet: article du monde = sans commentaires !!!! Les mineurs étrangers isolés, une " bombe à retardement " DE L'AVIS de tous les acteurs de terrain, le sort des jeunes migrants livrés à eux-mêmes, ceux que l'on appelle les mineurs étrangers isolés (MIE), est une véritable " bombe à retardement " à Mayotte. Ces jeunes seraient environ 3 500 sur l'île. Un chiffre colossal à l'échelle du département ( 212 000 habitants), qui correspond à plus de la moitié des mineurs arrivant en métropole. Beaucoup de ces jeunes sont envoyés seuls par leur famille depuis les Comores. Malgré la vie précaire à Mayotte, celle-ci est toujours considérée comme plus enviable. Beaucoup se retrouvent aussi isolés après l'expulsion de leurs parents, ces derniers préférant taire aux forces de l'ordre qu'ils ont des enfants. A Mayotte, le rapport à la famille n'est pas le même qu'en métropole ; 70 % des mineurs dits " isolés " sont quand même rattachés à des parents plus ou moins lointains. Mais un certain nombre se retrouvent utilisés par ces derniers comme homme ou femme à tout faire. L'une des grandes inquiétudes liées à ces jeunes " chats sauvages ", comme les appelle Philippe Duret, directeur de Tama, une association qui essaye de retisser du lien avec les familles restées aux Comores, est leur violence croissante. Mayotte connaît une forte hausse des cambriolages avec agressions qui leur sont attribués. La préfecture juge d'ailleurs " extrêmement préoccupants " les 15 % de ces mineurs - soit 500 à 600 enfants - qui n'ont aucun adulte référent, pas même un oncle ou un cousin. Un grand nombre des poubelles renversées de l'île sont de leur fait, celles-ci étant leur seul moyen de subsistance. Pas de structures adaptées La juge pour enfants du tribunal, Christine Defoy, est catastrophée par cette situation. Elle en parle au bord des larmes. Toutes les solutions existantes en métropole sont en effet inopérantes à Mayotte. L'aide sociale à l'enfance (ASE) ne dispose que de trois assistantes sociales pour toute l'île et celles-ci n'ont ni voiture pour leurs visites, ni frais remboursés si elles se déplacent avec leur propre véhicule. Il n'existe par ailleurs qu'une cinquantaine de familles d'accueil. La plupart ne sont pas vraiment formées et hébergent jusqu'à six enfants. Le seul foyer de l'île compte sept places, toujours prises... Même pour les mineurs condamnés dans le cadre de procédures pénales, il n'existe pas de structure adaptée et Mme Defoy admet qu'elle est parfois obligée de les remettre en liberté sans accompagnement. L'une des raisons de cette situation, outre le manque de moyens alloués par l'Etat, vient du conseil général de Mayotte. Ses élus, à commencer par son président, Daniel Zaïdani (divers droite), sont comme la majorité des Mahorais, très hostiles à l'immigration comorienne, et considèrent que s'occuper des mineurs isolés attise " l'appel d'air ". E. V. 8 millions La France injecte depuis des années - sans succès - des millions d'euros aux Comores pour y améliorer les infrastructures et limiter l'afflux de migrants. En 2011, plus de 8 millions d'euros ont encore été versés sans qu'on ne sache trop où ils se sont évaporés en raison notamment de la corruption. Droits de reproduction et de diffusion réservés Le Monde 2012. En rétention, la machine à expulser bat son plein 500 000 euros ont été consacrés à la réfection du centre de rétention dans lequel passent chaque année 20 000 migrants Depuis longtemps, le centre de rétention administrative (CRA) de Mayotte est la bête noire des défenseurs des droits de l'homme. Cette ancienne caserne de pompiers abritée derrière de hauts murs est le lieu où défilent, chaque année, les 20 000 migrants renvoyés inlassablement aux Comores par les autorités françaises. Le hasard veut qu'il se situe juste à côté d'un village dénommé Labattoir. Le centre est interdit à la presse depuis des années. Le Monde a obtenu exceptionnellement l'autorisation d'y rentrer lors de la visite du Défenseur des droits, Dominique Baudis. Le CRA est aujourd'hui plus " présentable " : des travaux de réhabilitation y sont en cours. Jusque-là, les seules images qui avaient filtré de l'intérieur étaient celles de migrants entassés dans une pièce, dormant à même le sol sous la chaleur d'un toit en tôle. Lors de notre visite, les travaux n'étaient pas terminés, mais au lieu d'une seule salle, trois pièces étaient en cours d'aménagement avec leurs propres douches et sanitaires : une pour les hommes, l'autre pour les femmes, la dernière pour les familles. Les murs avaient été repeints en mauve et des bancs installés à côté de piles de matelas. Une vingtaine de Comoriens - dont des femmes et des enfants - allaient et venaient dans le centre. D'autres faisaient la queue pour utiliser la cabine téléphonique du couloir. " La cabine la plus appelée de Mayotte ", commentait un responsable policier. Jusqu'en 2008, les migrants étaient nourris dans une grande gamelle collective. Un réfectoire est aujourd'hui en construction. Les travaux, qui comportent aussi une cour de promenade, devaient être achevés ces jours-ci. Les normes du CRA de Mayotte, même après ces travaux d'un montant de 500 000 euros, devraient néanmoins rester très en deçà de celles de métropole. Même si le ministère de l'intérieur a annoncé, le 11 décembre, que la capacité maximale d'accueil allait être ramenée de 140 à 100 places. Un nouveau CRA est donc en projet pour 2015. D'une capacité de 140 places, il comprendra des unités de 12 à 40 personnes. Les locaux refaits, la logique des expulsions massives ne devrait pas changer. Alors qu'en métropole, les migrants séjournent en moyenne huit jours en rétention, à Mayotte, ils y passent rarement plus de vingt-quatre heures. Lors de notre visite, 180 personnes avaient été interpellées dans la nuit. En début d'après-midi, plus de 100 avaient déjà été renvoyées aux Comores. Le travail des officiers de la police aux frontières (PAF) consiste à trouver rapidement des places sur les bateaux et avions reliant Mayotte aux Comores. Un trajet de cinq heures en bateau et de vingt à trente minutes en avion. Le record du CRA appartient à une femme, expulsée " à 17 reprises ", ont expliqué les policiers à M. Baudis. Ce contexte a poussé l'administration à adopter des pratiques contestées par les défenseurs des droits des étrangers. Notamment vis-à-vis des enfants mineurs, en principe non expulsables s'ils ne sont pas accompagnés. Pour pouvoir malgré tout les éloigner, on leur attribue parfois un adulte " référent " même si celui-ci n'est pas un de leurs parents. Une autre pratique débattue concerne les expulsions de migrants se déclarant " parents d'un enfant français ", en principe non éloignables. Mayotte connaît une explosion du trafic de certificat de naissance sur le sol de complaisance, le sésame pour être régularisé. Alors qu'en métropole ces personnes sont rarement expulsées, ici la préfecture fait une interprétation très stricte du droit. La surveillance sanitaire est le point le plus litigieux. A chaque fois que des migrants sont interpellés en mer, une infirmière court à l'embarcadère les examiner. Les cas les plus graves sont emmenés à l'hôpital où il y aura bientôt un lieu dédié à ces consultations. Mais en août, un bébé a malgré tout été retrouvé mort au CRA. Et en novembre, l'infirmière que Le Monde a pu rencontrer, avait examiné, ce jour-là, 112 personnes entre 7 heures et 14 h 42. E. V. " On a créé un département, il faut assumer " Dominique Baudis, Défenseur des droits Le Défenseur des droits, Dominique Baudis, s'est rendu, à Mayotte, du 22 au 24 novembre. Il devrait rendre un avis sur la situation de l'île en mars 2013. Etant donné la situation de Mayotte, quelles mesures urgentes devraient être prises ? Toutes les missions du Défenseur des droits sont questionnées par ce qui se passe à Mayotte : la déontologie de la sécurité, la lutte contre les discriminations, etc. L'île est devenue un département français il y a un an et demi et cela a mis par terre toutes les structures traditionnelles. Il y a donc un " choc " avec le modèle métropolitain. Le plus urgent toutefois, c'est de résoudre la situation des enfants. Celle des petits Mahorais mais aussi celles des mineurs étrangers isolés, comoriens pour la plupart, qui souvent grandissent en lisière des forêts. Quelle est la responsabilité de l'Etat ? On a fait le choix de la départementalisation, il faut assumer. Notamment dans les domaines où la situation est la plus grave. En France, les départements ont en charge l'aide sociale à l'enfance (l'ASE) et l'action sociale, qui représentent entre 40 % et 70 % de leur budget annuel. Or, à Mayotte, le conseil général consacre plus de 80 % de son budget en fonctionnement ! Pour tout un tas de raisons, il ne peut faire face à ses responsabilités. Il faudrait donc envisager, à titre conservatoire, que l'Etat reprenne les commandes sur ce dossier. Je constate par ailleurs que l'Office français de l'immigration et de l'intégration (OFII) n'est pas présent à Mayotte alors que les besoins y sont plus importants qu'en métropole. Néanmoins, l'Etat a enfin pris la mesure des problèmes, en particulier sur le centre de rétention, l'un des plus fréquentés de France. Il faudra veiller dans le futur centre, prévu pour 2015, qu'il y ait bien un bâtiment à part pour les familles. Sinon la France risque d'être de nouveau condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). A plus long terme, quelle direction l'action publique devrait-elle prendre ? Mayotte ne peut pas être isolée de son contexte régional : les Comores, La Réunion, l'océan Indien... Tous ceux qui ont réfléchi sur l'afflux migratoire sur l'île ont conclu qu'il n'y avait pas de solutions durables sans cela. C'est difficile, car les Comores considèrent qu'ils sont chez eux à Mayotte et que le territoire est le leur. Mais une fois les positions de principes énoncées, on peut chercher des solutions. A mon niveau, c'est ce que je veux essayer de faire en nouant un dialogue avec la Commission des droits de l'homme des Comores, créée il y a un an. J'espère m'y rendre au premier semestre 2013. Je pense que l'on peut, même dans un cadre non gouvernemental, convaincre les autorités comoriennes de l'intérêt de ne pas laisser leurs citoyens mettre leur vie en danger ainsi que celle de leurs enfants en prenant la mer dans des embarcations de fortunes. Propos recueillis par E. V ➡➡➡➡➡➡➡➡➡➡➡➡➡➡➡➡➡ Voilà pour cette lecture peu réjouissante... Nous tenions à vous faire également partager les côtés plus sombres de cette île si loin de la métropole. Lointaine par la distance nous séparant mais aussi par les différences que nous pouvons relever chaque jour. C'est une expérience que nous ne regrettons pas. On vous aime! Avec un peu d'avance, tous nos meilleurs voeux pour cette nouvelle année. À bientôt!
20 décembre 2012

Pèle-mèle

Bon ça y est! C'est les vacances et j-5 avant Noël... Inutile de vous dire que nous avons du mal à nous mettre dans l'ambiance des fêtes de fin d'année. Pas de froid, de neige ou autre verglas. Chaleur, humidité et transpiration sont plutôt au programme. En attendant, on s'est fait notre premier cadeau de Noël: un après midi sans les enfants 😃😃😃 Ça fait du bien..... Du coup, farniente à la plage. Nous avons eu du bol car en ce moment, on se prend de belles bassines sur la tête. Ça tombe dru. Nous vous laissons apprécier ces quelques clichés pris cet aprèm. De bien belles couleurs, de la chaleur et une eau à 30 degrés... Joyeux Noël et joyeuses fêtes à tous! On vous embrasse fort!

27 novembre 2012

Le début de la saison des pluies?

Bonjour à toutes et à tous! Voilà déjà un bon moment que nous n'avons pas donné de nouvelles. Il faut dire que le rythme est assez soutenu et que la fatigue commence à se faire sentir pour tout le monde. Il fait chaud, chaud, chaud et les premières pluies tropicales pointent le bout de leur nez! Ça rigole pas.... L'image d'une bassine géante que l'on renverse d'un seul coup est assez proche de la réalité. Le point positif est que ça rafraîchit légèrement l'atmosphère.... Regardez plutôt l'arrivée des nuages: Quoiqu'il en soit, nous avons hâte d'être en vacances pour partir découvrir Madagascar. 15 jours pendant les fêtes de fin d'année avec nos amis Steph, Jérôme et leurs enfants! Nous espérons que tout le monde se porte bien. N'hésitez pas à nous donner de vos nouvelles, ça fait toujours plaisir de lire vos messages. ( Greg, prépare tes baskets si vous venez! Ça va être chaud!) Grosses bises à tous les métros!

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